Chirurgie esthétique ou reconstructrice :
augmentation mammaire par implants mammaires à Paris 8e
L’augmentation mammaire est une opération chirurgicale qui se réalise dans le cadre d’une hypotrophie mammaire (ou volume jugé trop faible des seins) ou parfois dans le cadre d’ une aplasie complète ( ou absence presque complète des seins).
Vous souhaitez supprimer cette gêne psychologique quotidienne ?
Je suis conscient que chez les jeunes femmes, le sein a une valeur symbolique et sensuelle importante pour la construction du moi et l’identité féminine.
Pour les femmes plus âgées, c’est surtout un problème d’image et de confiance en soi dégradées par une grossesse, une perte de poids, la ménopause, ou tout simplement le vieillissement.
Expérimenté et maîtrisant toutes les techniques chirurgicales, les solutions pour traiter les seins de volume insuffisant se résument à la pose de prothèses mammaires ou encore au lipofilling ou lipomodelage des seins (remplissage par de la graisse) voir, dans certains cas, à leur association.
En plus de la pose d’implants mammaires, je propose également le lipofilling ou lipomodelage, le changement de prothèses mammaires, la réduction mammaire, le rehaussement mammaire. Je traite également les malformations mammaires ainsi que les reconstructions après ablation plus ou moins complète du sein pour tumeur. Retrouvez-moi pour vos implants mammaires dans mon cabinet à Paris 8e, à proximité des Champs-Élysées.

Implants mammaires :
présentation des types d’implants et des techniques possibles
Il existe deux types de prothèses mammaires qui peuvent traiter l’hypotrophie mammaire : les implants mammaires en gel de silicone et les implants mammaires remplis de sérum physiologique.
Elles peuvent être rondes ou anatomique, de surface lisse ou texturée.
En fonction du chirurgien, vos prothèses seront placées en avant ou en arrière du muscle Grand Pectoral.
Les incisions seront diversement placées selon les habitudes du chirurgien :
– soit hémi aréolaire inférieure : décrivant un hémi cercle inférieur entre la peau claire et celle plus foncée de votre aréole ;
– soit dans l’aisselle;
– soit dans le sillon sous mammaire.
Mon rôle est de choisir la technique pour la pose de prothèses mammaires la mieux adaptée à votre anatomie et à vos souhaits et aussi celle qui vous offrira les résultats les plus naturels à la vue et au toucher.
Augmentation mammaire :
le type de prothèse choisi et la technique la plus adaptée
Selon l’enseignement d’une longue expérience maîtrisée et d’un suivi à long terme systématique de mes patientes, j’ai opté pour :
–la prothèse mammaire en gel de silicone: car malgré sa pose un peu plus complexe, elle offre un meilleur résultat esthétique que la prothèse remplie de sérum physiologique. Le résultat est plus naturel autant visuellement qu’à la palpation. De plus, la prothèse au sérum diminue de volume avec le temps et se détériore plus rapidement notamment au niveau de sa valve de gonflage;
–la prothèse mammaire ronde : car la prothèse anatomique (en forme de goutte d’ eau) se doit d’être immobile dans sa loge, sous le muscle Grand Pectoral . Si elle bouge, le sein se déforme. Le sein doit donc rester fixe et rigide lors des mouvements du thorax.
Or, j’aime quand ma patiente s’allonge et que ses seins prothétiques glissent légèrement vers le dehors selon un mouvement naturel et élégant. Ce résultat est impossible avec une prothèse anatomique;
–la prothèse mammaire lisse : car une prothèse texturée, surtout si cette texture est épaisse, s’ accroche aux tissus environnants et ne favorise en aucun cas le mouvement de la prothèse dans sa loge. La découverte récente d’un cancer anaplasique à grandes cellules, très rare, et qui se développe uniquement après la pose de prothèses texturées invite définitivement au choix de la prothèse lisse;
–la prothèse mammaire posée en arrière du muscle Grand Pectoral :
car expose moins au risque de « coque ». Il se forme toujours autour de l’implant mammaire une membrane fibreuse, fine, souple et nacrée, qui ressemble à l’intérieur d’un gros coquillage. Dans certains cas, et surtout en l’absence de respect de certaines règles, cette fine membrane s’épaissit et devient moins souple (stade 2). Le problème devient prégnant aux stades 3 ou 4 de Becker, le sein devenant réellement dur et se déformant en « boule ». Cet aspect impose souvent une réintervention avec ablation de la « coque » et mise en place d’une prothèse le plus souvent moins volumineuse et parfois enduite d’une couche de polyuréthane. Ce type de prothèse est alors toujours mise en avant du muscle Grand Pectoral.
Implants mammaires :
les résultats
Outre la palpation, les résultats des implants mammaires doivent être envisagés sous deux angles : en mouvement et en position statique.
Les résultats en mouvement : les prothèses mammaires en gel de silicone, lisses, rondes, posées en arrière des muscles Grands Pectoraux, peuvent se mobiliser latéralement en dedans et en dehors dans leurs loges et, par conséquent, autoriser des mouvements très naturels des seins.
Lorsque vous êtes allongée, votre poitrine apparaît vraiment comme une poitrine non « refaite ».
Les résultats en position statique : ils doivent correspondre aux canons de beauté du sein auxquels j’accorde une importance toute particulière puisque ce sont des mesures originales, qui me sont propres, pouvant toujours être sujettes à discussion, mais qui me permettent après 20 ans d’exercice, d’obtenir des résultats d’implants mammaires d’une très grande qualité.


Plus de 20 ans d’expérience

Conseils personnalisés pour votre bien-être

Prise en charge globale de chaque patient en pré- et postopératoire

Suivi personnalisé jusqu’à satisfaction complète